FinOps et GreenOps : Optimiser l’efficacité du cloud tout en réduisant son impact environnemental

GREEN OPS & FIN OPS

Alors que le monde numérique continue de croître à un rythme important, l’empreinte carbone des services numériques, en particulier du cloud computing, devient une préoccupation majeure. Dans ce contexte, les entreprises cherchent de plus en plus à adopter des modèles opérationnels qui leur permettent de contrôler leurs coûts de cloud tout en rendant leurs opérations plus durables. Deux de ces modèles, FinOps et GreenOps, offrent des approches prometteuses. Bien qu’ils soient différents, ils sont complémentaires et travaillent en tandem pour aider les entreprises à optimiser leur utilisation du cloud et à minimiser leur impact environnemental. 

 

L’avenir du Cloud est vert : Introduction au GreenOps

 

Dans notre monde de plus en plus numérisé et où les émissions carbone de ce secteur progressent annuellement de 6%, l’impact environnemental du Cloud Computing devient une préoccupation majeure. Une nouvelle approche, le GreenOps, vise à réduire cette empreinte en optimisant l’utilisation du Cloud. En combinant supervision et rationalisation, le GreenOps offre un moyen de fusionner technologie et durabilité. 

Qu’est-ce que le GreenOps ? 

Une première définition simple du GreenOps pourrait être : l’acte de réduire l’empreinte environnementale du Cloud en optimisant son utilisation. On peut définir le GreenOps à travers deux piliers.

 

Premier pilier : La supervision 

La supervision se traduit avant tout par la mise en place de tableaux de bords de suivi de la consommation énergétique et de l’empreinte carbone des ressources du Cloud. On peut suivre cette empreinte à travers différents aspects : 

  • Au cours du temps
  • Par service
  • Par pays
  • Par projet


La supervision s’effectue grâce à l’utilisation de services managés (ensemble de services et d’outils) qui permettent proactivement l’automation des tâches de gestion de l’infrastructure. 

 

Il est également important de pratiquer le rightsizing, c’est-à-dire d’adapter les ressources à chaque besoin. Le nombre de serveurs doit être déterminé en fonction du besoin, à la bonne taille comme l’indique ce terme de rightsizing, c’est-à-dire ni trop peu pour ne pas nuire à la réussite du projet ni trop pour ne pas être en surcapacité. L’autoscaling permet d’automatiser le rightsizing cela en adaptant dynamiquement les ressources nécessaires selon les besoins en temps réel.

 

 

Second pilier : La rationalisation

Lorsqu’on pratique le GreenOps, il est également nécessaire de rationaliser son utilisation. Un levier assez simple pour diminuer l’empreinte carbone est de localiser les infrastructures Cloud dans des pays avec une production d’électricité faiblement carbonée. Cela va généralement peu influer sur le reste des émissions et des performances. Par exemple, pour un projet dont les utilisateurs seront en Europe, il est possible d’optimiser le choix des serveurs en fonction des divers pays de l’Europe, il n’est pas nécessaire d’aller Outre-Atlantique.

 

Une autre bonne pratique simple est d’éteindre les serveurs lorsqu’ils ne sont pas utilisés. Par exemple, si des serveurs sont utilisés seulement pour des projets en interne, les couper le week-end peut être une grande source d’économies. Et si les équipes sont sur un seul fuseau horaire alors il est aussi possible de les couper la nuit. Bien sûr, cela dépend de la criticité du projet et il est nécessaire d’en étudier la cohérence.

 

Un autre axe de rationalisation concerne le stockage, en limitant l’infobésité. Cela se fait en créant un cycle de la donnée cohérent, en ne collectant que les données nécessaires aux besoins par exemple ou en ne les gardant pas sur une durée illimitée. Et cela répond à un double objectif si on est sur des données personnelles : le RGPD impose de ne collecter que les données correspondant à la finalité du traitement avec le principe de minimisation des données (article 5-1) : Les données doivent être “adéquates, pertinentes et limitées à ce qui est nécessaire au regard des finalités pour lesquelles elles sont traitées”.

 

 

Et terminons par un dernier axe de rationalisation : le code. Un code optimisé peut faire diminuer drastiquement l’utilisation des ressources en diminuant les données appelées dans chaque boucle, en diminuant le nombre d’opérations pour un même besoin. Le cloud permet une flexibilité telle qu’on en oublie parfois d’optimiser son code. En effet, il est généralement plus facile de rajouter une ressource supplémentaire ce qui fait qu’il est commun d’avoir un usage excessif des ressources.  

Le greenOps sur les 3 grands Clouds providers

Selon une étude de Google, parmi 2000 leaders interrogés, 75% considèrent que la durabilité écologique (sustainability) est un “must-have” ou une considération majeure.

 

C’est pourquoi chez les 3 grands Clouds providers (Amazon Web Services, Microsoft Azure, Google Cloud Platform), on peut constater une standardisation des outils de suivi. Il est possible de suivre les émissions de carbone selon les différents périmètres d’émission (ou scopes). Pour rappel, les scopes des émissions sont 3 niveaux de mesure en fonction de ce que l’on prend en compte : 

  • Scope 1 : Emissions directes, par exemple si on doit utiliser du pétrole pour utiliser le produit au quotidien. Le Cloud est a priori peu concerné par ce scope
  • Scope 2 : Emissions indirectes liées aux consommations énergétiques. Cela concerne par exemple tous les produits utilisant de l’électricité pour fonctionner. C’est donc le cas des services Cloud.
  • Scope 3 : Autres émissions indirectes. Cela concerne notamment l’extraction des matériaux nécessaires à la production des infrastructures mais aussi le transport, etc 


Les outils fournis par les différents clouds permettent de suivre les émissions carbone pour ces 3 scopes. Il va donc être possible d’obtenir des dashboards pour pouvoir suivre dans le détail les émissions selon les critères énoncés plus haut : au cours du temps, par projet, par pays et par produit.

 


FinOps et GreenOps : Optimiser l'efficacité du cloud tout en réduisant son impact environnemental

 

Exemple sur Azure, source : https://appsource.microsoft.com/en-us/product/power-bi/coi-sustainability.emissions_impact_dashboard?tab=overview

Google propose également un service pour aider à déterminer dans quelle région héberger son service en fonction de l’empreinte carbone, du prix et de la latence souhaitée. En jouant sur l’importance de ces 3 critères, Google propose alors la région la plus optimale correspondant à ce besoin.

 

FinOps et GreenOps : Optimiser l'efficacité du cloud tout en réduisant son impact environnemental

Source : https://cloud.google.com/blog/topics/developers-practitioners/next-reaction-sustainability-announcements?hl=en

 

Google propose aussi de suivre sa propre transition vers la décarbonation électrique avec une carte évolutive. 

Le GreenOps offre une voie pour concilier technologie et durabilité. En optimisant l’utilisation du Cloud, nous pouvons minimiser notre empreinte carbone tout en exploitant les services Cloud de manière efficace. Les outils proposés par les principaux fournisseurs de Cloud facilitent l’adoption de ces principes. 

 

 

Le FinOps : Maximiser la valeur et minimiser les coûts dans le cloud

 

Dans un monde toujours plus digital et où le cloud computing devient de plus en plus la norme, gérer efficacement ses coûts devient crucial. C’est là qu’intervient le FinOps, une discipline visant à optimiser les dépenses du cloud.

Qu’est-ce que le FinOps ?  

La FinOps Foundation, de par son Technical Advisory Council (Conseil technique consultatif) définit de cette manière le FinOps :

 

FinOps est une discipline et une pratique culturelle de gestion financière du cloud en constante évolution qui permet aux organisations de maximiser leur valeur métier en aidant les équipes d’ingénierie, financières, techniques et commerciales à collaborer sur des décisions en matière de dépenses pilotées par les données.

Pour rentrer dans les détails, il s’agit d’un ensemble de bonnes pratiques définies à travers 2 piliers, sans toutefois être exhaustif.

 

Premier pilier : Informer

 

Un premier point, qui est du bon sens, est d’étiqueter les ressources. Il s’agit donc de mettre des tags pour être capable d’associer à chaque ressource, le ou les projet(s) à laquelle elle est associée, qui est le métier concerné ou quel service de Cloud est utilisé. Faire ce travail va permettre un suivi granulaire des dépenses selon plusieurs axes d’analyse. 

 

Cette étape d’étiquetage va ensuite permettre de prendre des décisions business basées, non pas sur le coût uniquement, mais sur la valeur business (le ROI), c’est-à-dire comprendre combien un euro investi dans le Cloud pour un projet est supposé rapporter. On peut alors faire des arbitrages entre vitesse d’exécution, coût et qualité du rendu. Il est donc important de souligner que le FinOps n’est pas un moyen de simplement réduire les coûts mais plutôt de les optimiser. Entre un investissement de 10 000 € qui rapporte 1 000 000 € et un investissement de 100 € qui rapporte 1 000 €, il vaut mieux choisir le premier plutôt que de chercher à réduire à tout prix les coûts. 

 

Cela va être accompagné de reporting pour informer les équipes des optimisations. Ces reportings doivent donner une capacité de suivre les coûts en fonction des différentes étiquettes qui ont été définies et il est donc nécessaire de pouvoir traiter les coûts dès lors qu’ils sont disponibles. 

 

 

Second pilier : Optimiser

 

Une fois les ressources déterminées, il est nécessaire de les optimiser. Les clouds providers proposent différents types de tarification : 

  • À la demande : En payant pour une ressource ayant une certaine capacité de calcul, le tarif à la demande permet de ne payer que pour le temps utilisé. On a donc un tarif à l’année, à la journée, à l’heure, à la seconde, voire à la milliseconde pour certains services. C’est donc le temps consommé qui va faire foi. 
  • À la capacité réservée : Ce cas fonctionne bien pour une ressource utilisée de manière planifiée. Il fonctionne bien pour des bases de données ou des machines virtuelles. On réserve donc des créneaux – cela peut être 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 – Le fait de les avoir réservés permet une réduction par rapport à un tarif à la demande. 
  • Le mode Spot : Ce mode fonctionne comme une mise aux enchères. Selon le prix que vous avez payé, le cloud provider donne une probabilité de disponibilité en fonction du prix payé par chaque utilisateur.  Ce mode permet de faire des économies importantes et doit être utilisé lorsque l’heure d’exécution d’un service n’est pas importante. 

Il est donc nécessaire de se poser la question du mode de tarification à choisir pour chaque projet. Des solutions d’auto scaling permettent notamment d’allouer automatiquement le bon nombre de ressources dans le cas d’un projet où le besoin au cours du temps s’avère variable. 

 

Un axe d’optimisation important concerne notamment le stockage où le fait de changer le temps de latence pour obtenir les données influence grandement le coût mensuel de stockage. 

Le FinOps sur les 3 grands clouds

Tout d’abord, faisons un focus sur AWS, le cloud d’Amazon. Notons qu’Amazon possède plusieurs tarifications de stockage sur S3 (Amazon Simple Service Storage – le service de stockage d’Amazon conçu pour la sauvegarde et l’archivage en ligne des données et des programmes d’application.), ce qui permet d’être en capacité de choisir la meilleure option de stockage en fonction de son besoin. Pour se projeter, voici un tableau résumant chacune de ces offres. 

 


Type de stockage Utilisation Temps d’accès Prix par Go par mois à Paris
Standard Stockage à usage général pour un accès fréquent

 

Quasi instantané 0,024 $
Standard –
Accès peu fréquent
Pour les données à longue durée de vie, mais à accès peu fréquent

 

1 ms 0,0131$ 
Unizone Pour les données pouvant être recréées, mais à accès peu fréquent

 

1 ms 0,01048 $
Glacier Instant
Retrieval
Pour les données d’archives à long terme consultées une fois par trimestre

 

Quelques millisecondes 0,005 $ 
Glacier Flexible
Retrieval
Pour les sauvegardes et les archives à long terme De 1 minute à 12 heures 0,00405 $ 
Glacier Deep
Archive
Pour l’archivage des données à long terme nécessitant un ou deux accès par an

 

Inférieur à 12 heures 0,0018 $ 

 

Source : https://aws.amazon.com/fr/s3/pricing/

 

 

Notons qu’on a un rapport de 13 sur le prix entre le système de stockage le plus cher et le système de stockage le moins cher. Pour une entreprise amenée à traiter de gros volumes de données, cela peut sembler intéressant de réfléchir à l’utilisation qui va être faite des données, ce qui peut mener à des économies substantielles.

 

De plus, Amazon propose des savings plans, un modèle de tarification à la capacité réservée qui promet jusqu’à 72% d’économie par rapport au modèle de tarification flexible. Cette économie sera bien sûr réalisée si les ressources sont utilisées de manière optimale et ces ressources doivent donc être utilisées de manière régulière et planifiée.  

 

 

FinOps et GreenOps : Optimiser l'efficacité du cloud tout en réduisant son impact environnemental

 

Source : https://aws.amazon.com/fr/savingsplans/

 

Côté monitoring, les clouds providers ont généralement des dashboards intégrés dans leurs solutions, ne serait-ce que pour comprendre les factures. On peut aller généralement dans des niveaux de détails assez élevés et récupérer au besoin de la donnée tabulaire pour augmenter ce niveau de détail. Voici par exemple ce que propose AWS avec de nombreux filtres pour affiner les dépenses effectuées par région, type d’instance, tag, … Amazon va même jusqu’à proposer un coût par heure, ce qui permet de comprendre l’impact du lancement ou de l’arrêt d’un nouveau service : 

 

 

FinOps et GreenOps : Optimiser l'efficacité du cloud tout en réduisant son impact environnemental

 

 

Aussi, les clouds providers proposent des calculateurs très précis pour aider à se projeter sur le coût de chaque service et donc calculer un ROI potentiel. Exemple avec le calculateur de Microsoft. Azure propose aussi Azure Advisor pour optimiser les coûts.

 

En conclusion, AWS, Google Cloud et Azure offrent tous des outils et des ressources pour aider les entreprises à mettre en œuvre des pratiques de FinOps. Chacun d’eux offre des outils de visibilité et de gestion des coûts qui peuvent aider les entreprises à optimiser leurs dépenses de cloud.

 

 

 

GreenOps et Finops, les 2 faces d’une même pièce ? 

De nombreuses fonctionnalités en commun


De nombreuses bonnes pratiques du GreenOps et du FinOps sont en réalité communes.
Parmi celles-ci, éliminer les ressources inutiles a un impact à la fois sur la partie financière et pour la planète, ce qui est donc une pratique à mettre en place le plus rapidement possible.

 

Une autre pratique commune, telle que la mise en place d’outils de reporting est tout à fait vertueuse dans le cadre du GreenOps comme du FinOps. On peut même avoir envie de mettre dans le même tableau de bord les reportings financiers et écologiques pour essayer d’optimiser ces deux leviers en parallèle. Choisir la bonne manière de stocker fait aussi partie des bonnes pratiques GreenOps et FinOps.

 

Certaines pratiques sont néanmoins spécifiques au GreenOps et au Finops, notamment : 

  • Le fait de localiser dans une autre région ou un autre pays une ressource Cloud n’a pas ou peu d’impact sur le tarif. Il peut même éventuellement conduire à une augmentation. En tout cas, ces deux évènements ne sont généralement pas corrélés. 
  • Prendre des décisions à propos du Cloud liées à la valeur business avec des compromis sur la vitesse, le coût et la qualité n’a que peu d’impact sur le fait d’avoir une approche GreenOps 

FinOps est donc l’un des plus grands contributeurs à GreenOps, car en veillant à ce que les ressources du cloud soient utilisées de manière optimale, non seulement des économies de coûts sont réalisées, mais la consommation d’énergie et les émissions de carbone sont également réduites.

 

Où en sont les entreprises sur ces 2 pratiques ?

Ces deux pratiques, GreenOps et FinOps, représentent une nouvelle approche pour les entreprises. GreenOps se concentre sur l’optimisation des opérations pour réduire l’impact environnemental, tandis que FinOps se concentre sur la gestion financière des ressources informatiques dans le cloud.

De nombreuses entreprises exploitent déjà les fonctionnalités natives offertes par les technologies Cloud. Elles ont configuré des tableaux de bord de suivi pour surveiller leurs émissions de carbone et pour assurer un suivi minutieux des coûts, généralement à l’échelle de chaque projet et souvent pour chaque service. Cependant, bien que ces entreprises aient pris ces mesures initiales, elles n’ont pas nécessairement approfondi leur engagement dans ces domaines.

 

La raison principale de cette situation est que GreenOps et FinOps sont encore largement méconnus dans le monde de l’entreprise. Malgré l’importance croissante de ces pratiques, de nombreuses entreprises n’ont pas encore pris pleinement conscience de leur potentiel. 

 

Quelques entreprises ont toutefois saisi l’importance de ces aspects et ont même créé des postes spécifiques pour ces domaines. Cependant, il est courant que ces responsabilités soient externalisées, car la nécessité d’un poste à plein temps pour gérer ces aspects peut ne pas être en adéquation avec la taille de l’entreprise.

De plus, ces pratiques étant nouvelles, très peu de professionnels se déclarent experts en la matière. Cela rend le recrutement et l’évaluation pour de tels postes particulièrement difficiles. En dépit de ces défis, l’intérêt pour GreenOps et FinOps est en croissance et il est probable que nous assisterons à une adoption plus généralisée de ces pratiques dans un futur proche.

 

 

Comment GreenOps et FinOps s’intègrent dans une stratégie data globale ? 

 

La mise en œuvre de GreenOps et FinOps peut jouer un rôle crucial dans la définition d’une stratégie de données globale. Ces deux approches permettent aux entreprises de gérer efficacement leurs ressources de cloud computing, tout en minimisant leur impact environnemental.

Dans le cas du GreenOps, les entreprises sont encouragées  à adopter des pratiques plus durables dans leur utilisation du cloud. Cela peut impliquer l’adoption de solutions de cloud computing plus écologiques, la minimisation de l’utilisation des ressources de cloud computing lorsque cela est possible, et l’optimisation de l’efficacité énergétique des opérations de données. En intégrant GreenOps dans leur stratégie de données, les entreprises peuvent réduire leur empreinte carbone tout en gérant efficacement leurs données.

D’autre part, avec le FinOps, les entreprises peuvent surveiller et optimiser leurs dépenses de cloud en continu, ce qui peut avoir un impact direct sur la manière dont elles gèrent et stockent leurs données. Par exemple, en utilisant les principes de FinOps, une entreprise peut décider de déplacer certaines de ses charges de travail vers des instances de cloud moins coûteuses pendant les heures creuses, ou de supprimer les ressources inutilisées, ce qui peut entraîner une utilisation plus efficace des données et une réduction des coûts.

 

En combinant FinOps et GreenOps, les entreprises peuvent non seulement optimiser leurs coûts et leur utilisation du cloud, mais aussi minimiser leur impact environnemental. Cela peut conduire à une stratégie de données plus efficace et durable, qui peut offrir des avantages à long terme tant sur le plan financier qu’environnemental.

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